Django Unchained


affiche django


En bref :
Sud des Etats-Unis, peu avant la guerre
de sécession. King Schultz, aventurier allemand, et Django, esclave racheté, chassent les primes en duo. Leur but : arracher la belle Broomhilda des griffes de Calvin Candie. Un type charmant, mais très raciste. Les notes.




→ 10 - Django (Jamie Foxx) 
Son intégration dans la famille Tarantino est une franche réussite, en partie grâce à son costume de laquet. Ils l’avaient déjà en costume blanc et en fourrure violette, mais les Blacks ont aussi la classe en cow-boy. Injuste.  



→ 10 - Dr Schultz (Christoph Waltz) 
Aussi bon nazi que dentiste. C’est quoi, déjà, l’équivalent des Oscars en Autriche ?




→ 10 - Calvin Candie (Leonardo Di Caprio) 
L’homme-qui-ne-s’est-pratiquement-pas-planté-une-seule-fois-dans-ses-choix-de-films-depuis-quinze-ans a encore frappé. Et très fort. Du racisme
immonde à l’état pur, et la cruauté avec. Même ses dents sont bien faites.  



→ 7 - Broomhilda (Kerry Washington) 
Un peu de douceur dans ce monde de (grosses) brutes. Aussi convaincante que dans La princesse et la grenouille.



→ 9 - Stephen (Samuel L Jackson) 
Le vrai méchant, en fait, c’était lui. Conclusion : ne jamais tourner le dos à un vieillard qui sourit.  



→ 6 - Big Daddy (Don Johnson) 
Rarement le Ku Kux Klan aura été aussi amusant. Sachant qu’on parle de types qui pendent des gens pour s’amuser. Chapeau (de cow-boy).  




→ 3 - Billy Crash (Walton Goggins) 
Averell n’était donc pas que débile. Il était aussi esclavagiste. Bon débarras.  

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