En bref : Houston a un énorme problème : le vaisseau spatial sur lequel travaillaient Matt et Ryan est parti en fumée. Et les voilà dans leur combinaison, comme des cons, à 20 000 bornes de la planète et pas une aire d’autoroute à l’horizon. Les notes.
La seule femme au monde soulagée de se retrouver dans une boîte de 5m² même pas située dans l’atmosphère. Mais aussi, désormais, la recordwoman toutes galaxies confondues du nombre de rattrapages inespérés à une main. Ajoutons la jolie pub pour Sloggi, et le tour est joué.
Incorrigible Georgy, qui drague en apesanteur et rêve de s’offrir un shot de vodka dans un Soyouz. Seule ombre au tableau : son absence totale de stress face à une mort inéluctable. Un comportement qu’il a pu méditer depuis ; au dernières nouvelles, il vient de dépasser Pluton.
Soit le mec a déjà vécu dans l’espace, soit ceux qui lui ont raconté comment ça se passe là-haut étaient hyper intéressants. Un premier quart d’heure asphyxiant, des plans de pure poésie et aucune fausse note dans le cosmos : Alfonso vient de faire avancer la Science : l’astrophysique est (presque) devenue cool.
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