En bref : NYC, 1922. Fini la Grande Guerre, l’heure est aux excès. Et en matière d’excès, Gatsby s’y connaît, avec ses soirées Projet X. Mais son truc à Gatsby, c’est les lumières vertes, l’ascenseur social, les histoires d’amour impossibles. Et les voisins un peu cons. Les notes.
L’homme-qui-ne-s’est-pratiquement-pas-planté-une-seule-fois-dans-ses-choix-de-films-depuis-quinze-ans a-t-il encore frappé ? Oui mais non. Parce après avoir (enfin) montré un peu de folie dans Django, Leo a vite retrouvé son peigne et sa place au premier rang de la classe. Dommage.
Les faits sont là : on ne peut pas être pris au sérieux et avoir le même nom que le chien de la pub Crédit mutuel. Qui plus est quand on a le même air de crétin réjoui.
Mignonne, douce, fragile. Mais terriblement irritante. Et le pire, c’est qu’on ne saurait même pas dire pourquoi. #jugementgratos.
Pas facile le rôle de l’héritier bourrin macho, surtout en polo. Joel s’en tire avec brio. Et avec sueur.
Trop chanceuse, Elizabeth. Elle a gagné une journée de tournage avec Leo grâce à «Fan de».
Non, George n’était pas furieux pour la mort de sa femme. En réalité, George en avait juste plein le cul de ne pas pouvoir dormir le samedi soir à cause des teufs de Gatsby. Nous sommes peu nombreux à l’avoir compris.
Vraiment peu d’intérêt, sinon celui d’avoir mis en lumière une maladie bien étrange. Celle qui consiste à se jeter sous les roues des voitures jaunes.
On retiendra juste que Meyer a mis des molaires humaines à la place de ses boutons de manchettes. Sans doute un ancien dentiste.
On voulait du rétro bling-bling, on en a eu. Mais les festias devaient être jouissives, elles ne sont qu’excitantes. L’insouciance de la upper-class devait être gerbante, elle n’est qu’amusante. Et la mort de Gatsby devait nous détruire, elle ne sert qu’à voir que les maillots de bain ont bien changé en 90 ans. Mouaif.
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