En bref : Son truc, à Luke, c’est la moto. Ça et les aventures sans lendemain. Sauf que cette fois,
sa groupie est tombée enceinte. Luke se découvre
donc une fibre paternelle, un certain talent pour les braquages, et un nouveau copain, Avery. Les notes.
Encore un regard d’autoroute, mais encore un putain de style. Sa pose «clope au bec, pyjama tête de mort, t-shirt crade à l’envers» sur le parking est d’ores et déjà un poster collector. Et puis crever (spoiler) au bout de 40 minutes, c’est l’assurance de n’emmerder personne.
Gollum a de la famille aux Etats-Unis. Un cousin qui bosse dans un modeste petit garage dans les bois. Bon à savoir.
Au paradis latin, il y a Jessica, Shakira, Jennifer, Adriana. Et puis il y a Eva. Belle même quand elle a pris 40 ans dans la gueule à force de servir des pancakes à des routiers.
Avec un nom pareil, c’est un miracle qu’il soit au générique. A sa décharge, il n’y avait qu’un rôle à la con dans ce film, et c’est tombé sur lui.
“Sobre, sobre, et sobre”. Voilà ce que Brad s’est répété chaque matin devant sa glace avant d’aller tourner. Une prestation tout en «président normal». Normal comme sa veste Kipsta en lycra.
2’13 à l’écran. Bien trop peu de temps pour apprécier à sa juste valeur son charme fou.
Soyez sages, les enfants, sinon Tonton Ray va vous emmener avec lui dans les bois. Te-rri-fiant.
9 parce qu’Emory joue à merveille le fils à papa pourri gâté. 1 parce qu’il ressemble vraiment à un porc, avec sa coupe de boys band et son torse velu.
Si Dane est entré dans la peau du gamin paumé en manque de repères paternels, c’est bluffant. Si Dane est réellement comme ça, c’est inquiétant.
Une bonne idée que cette séparation tranchée des époques. Malheureusement le meilleur n’était pas pour la fin.
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