En bref : Sud des Etats-Unis, peu avant la guerre
de sécession. King Schultz, aventurier allemand, et Django, esclave racheté, chassent les primes en duo. Leur but : arracher la belle Broomhilda des griffes de Calvin Candie. Un type charmant, mais très raciste. Les notes.
Son intégration dans la famille Tarantino est une franche réussite, en partie grâce à son costume de laquet. Ils l’avaient déjà en costume blanc et en fourrure violette, mais les Blacks ont aussi la classe en cow-boy. Injuste.
Aussi bon nazi que dentiste. C’est quoi, déjà, l’équivalent des Oscars en Autriche ?
L’homme-qui-ne-s’est-pratiquement-pas-planté-une-seule-fois-dans-ses-choix-de-films-depuis-quinze-ans a encore frappé. Et très fort. Du racisme
immonde à l’état pur, et la cruauté avec. Même ses dents sont bien faites.
Un peu de douceur dans ce monde de (grosses) brutes. Aussi convaincante que dans La princesse et la grenouille.
Le vrai méchant, en fait, c’était lui. Conclusion : ne jamais tourner le dos à un vieillard qui sourit.
Rarement le Ku Kux Klan aura été aussi amusant. Sachant qu’on parle de types qui pendent des gens pour s’amuser. Chapeau (de cow-boy).
Averell n’était donc pas que débile. Il était aussi esclavagiste. Bon débarras.
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