En bref : Based on true story. Parmi les gens totalement paumée, certains voient un psy. D'autres collectionnent les modèles réduits. Mais Cheryl, elle, a décidé de traverser un pays à pied avec un frigidaire sur le dos. Les notes.
Un petit brin de femme qui en a dans les chaussettes. Et qui réussi à rendre presque glamour une diarrhée violente dans les bois. Bear Grylls en un peu plus jolie, et un peu moins sado.
Vraiment pas indispensable. Un peu comme les 63 flash-backs sur la vie décousue de Cheryl, histoire que tout le monde comprenne bien qu'elle allait vraiment (mais alors vraiment vraiment) pas bien.
Très cool, le concept de mère-copine. Mais peut-être pas au point de se taper 1 700 kms à pattes pour lui rendre hommage.
Le mec a la patience de raccompagner sa femme qui vient de faire une partouze avec des camés. Et d'envoyer des barres de céréales Grany par la poste. De toute façon, un être humain qui a approché de près (même pour de faux, cf The Newroom) Olivia Munn mérite une bonne note.
L'homme qui a tout compris à la contestation écologiste. L'alter-mondialisme, c'est d'abord et avant tout un moyen (biodégradable) de se taper des filles.
Quel est le pire ? Etre un violeur sans en avoir l'air ? Ou, comme Francky, avoir l'air d'un violeur mais ne pas l'être ?
On ne fera pas la fine bouche : la balade était vraiment très sympa. Mais Dame Nature était quand même beaucoup plus puissante dans Into the Wild.
De loin sa meilleure pub pour les tentes 2 secondes Quechua. Mais à force de vouloir tout expliquer, on a perdu en route l'indispensable : un peu d'émotion.
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